564 — B, sour cele. C, sur ceste.
566 — meschine. C, baiasse. — Ce vers manque à B, où il est remplacé par le suivant, placé avant le vers 563 :
Foi que doi vous que je molt aim.
568 — B, C, de m’ame.
569 — B, par droit estre.
571-576 — Ces vers manquent dans A et C.
578 — C, Vous qui cest conte oï avez.
579 — B, Vuistasses.
580 — B, Par amors et prie et commande. C, Et vous [en] prie et vous comande.
581 — C, le jugement.
582 — C, Chascuns en die son talent.
586 — C, Ou la baiasse pinprenesse.
Ce fabliau, qui offre une certaine analogie avec le conte de La Fontaine : A femme avare galant escroc, se retrouve dans un conte de Chaucer ; c’est aussi, à peu de chose près, le sujet de l’Anser venalis du Pogge, de la nouvelle XVIIIe des Cent Nouvelles nouvelles et d’une histoire de Boccace (journ. VIII, nouv. I) ; d’autres imitations existent encore.
Le ms. de l’Arsenal porte dans la nouvelle numérotation le no 3524.
Publié par Barbazan, à la suite de l’Ordene de Chevalerie, 168-177 ; par Méon, I, 100-105 ; par M. Aug. Scheler, Dits et Contes de Baudoin et de Jean de Condé, III, 299-303, et traduit par Legrand d’Aussy, III, 16-18.