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notes et variantes


LXXIV. — Du Vilain Mire, p. 156.

A. — Paris, Bibl. nat., Mss. fr. 837, fol. 139 ro à 141 ro.

B. — Bibl. de Berne, Mss. 354, fol. 49 vo à 52 ro.


Nous empruntons les variantes du ms. de Berne à la copie de la Bibliothèque nationale (coll. Moreau, 1720, Mouchet, 46), qui a pour titre : « Do Mire de Brai. »

Publié par Barbazan, I, 1 ; par Méon, III, 1-13 ; par Renouard dans Legrand d’Aussy, III, app. 1-5 ; analysé par Legrand d’Aussy, III, 1-11.


Vers 1 — B, ert .I. vilains mout.

2-4 — B :

Qui trop avoit, mès mout fu chiches ;
.II. charrues ot et .VIII. bues
Qui totes erent à son hues.

5 — B, Et .II. jumenz et .II. roncins.

6 — B, et blez et vins.

8 — B, qu’il ne prenoit.

9 — B, ses amis.

10 — B, do pais.

11 — B, Tant qu’il lor dit qu’il.

12 — B, s’il la savoit.

16 — B, Qui estait viauz.

17 — B, Qui une fille avoit.

19-24 — Ces vers manquent à B.

25 — B, parlerent.

26 — B, Et au chevalier.

27 — por. B, à oes.

28-30 — Ces vers se lisent ainsi dans B :

Qui mout estoit riche et puissant :
Assez avoit or et argent.
Que vos diroie [je] en present ?