A. — Paris, Bibl. nat., Mss. fr. 837, fol. 139 ro à 141 ro.
B. — Bibl. de Berne, Mss. 354, fol. 49 vo à 52 ro.
Nous empruntons les variantes du ms. de Berne à la copie de la Bibliothèque nationale (coll. Moreau, 1720, Mouchet, 46), qui a pour titre : « Do Mire de Brai. »
Publié par Barbazan, I, 1 ; par Méon, III, 1-13 ; par Renouard dans Legrand d’Aussy, III, app. 1-5 ; analysé par Legrand d’Aussy, III, 1-11.
Vers 1 — B, ert .I. vilains mout.
2-4 — B :
Qui trop avoit, mès mout fu chiches ;
.II. charrues ot et .VIII. bues
Qui totes erent à son hues.
5 — B, Et .II. jumenz et .II. roncins.
6 — B, et blez et vins.
8 — B, qu’il ne prenoit.
9 — B, ses amis.
10 — B, do pais.
11 — B, Tant qu’il lor dit qu’il.
12 — B, s’il la savoit.
16 — B, Qui estait viauz.
17 — B, Qui une fille avoit.
19-24 — Ces vers manquent à B.
25 — B, parlerent.
26 — B, Et au chevalier.
27 — por. B, à oes.
28-30 — Ces vers se lisent ainsi dans B :
Qui mout estoit riche et puissant :
Assez avoit or et argent.
Que vos diroie [je] en present ?