au moyen âge (Cf. A. Giry, Histoire de Saint-Omer, 262).
Nous retrouvons quelques ressemblances avec ce fabliau dans le conte 75e (p. 192) des Contes secrets russes (voy. p. 334-335). Il s’agit d’une mésaventure dans le genre de celle qui arrive à Guillaume.
A. — Paris, Bibl. nat., Mss. fr. 837, fol. 158 vo à 161 ro.
B. — » » » 2168, fol. 209 vo à 213 vo.
C. — Bibl. de Pavie, Mss. 130 E 5, fol. 50 ro à 53 vo.
Nous empruntons les variantes du ms. C (Bibl. de Pavie) à M. A. Mussafia, Sitzungsberichte der k. Akademie der Wissenschaften (de Vienne), Phil.-Hist. Classe, LXIV, 571-575.
Publié par Méon, IV, 1-19, et donné en extrait par Legrand d’Aussy, III, 288-291.
Vers 1 — C, Or entendez.
2 — C, Une mès.
3 — C, ci raconter.
6 — ele. C, qu’elle. — B, Sachiés qu’ele est enfin.
9-14 — Ces vers manquent à C.
10 — B, Mais cortois, sages.
16 — « Oisemont », Picardie, près d’Amiens.
18 — ne. B, n’i.
19 — C, Car trop trouva.
21 — B, Felons et. — C, Et cuvers et de pute.
26 — B, De to(r)st errer. — C, De bien errer sa voie atourne.