155 — B, li cligne.
156 — B, De mile riens ne l’arainast.
157 — B, Et il s’en est.
158 — B, L’autre prestre li dit assez.
160 — B, i doint autel.
161 — B, Con j’a[i] fait ceste matinée.
166 — B, Lors ne se pot mie.
168 — B, Si li a dit : « Beaus trés dolz sire.
170 — B, Ja ne vos en.
171 — B, Moie deables, » fait.
173 — B, Quar.
174 — B, Lors li dist l’autre prestre donques.
175 — B, Par foi, merveilles me contez.
177 — B, Qui por vos la mere peüst.
178 — B, Et livrast que li esteüst.
179 — Ce vers et le suivant manquent dans A.
182 — A, Quoi ? » fet l’evesque.
183 — B, Qui ge sui hons.
184 — B, Ja n’en ere fous.
186 — B, Si que la vielle l’otroiast.
187 — B, Ge li dourrai .LX.
189 — Ce vers et le suivant manquent dans A.
191 — il. B, cil
192 — B, Cele li dit.
193 — B, Et ge l’otroie.
194 — B, Lors fiancent.
195 — B, A terme et les deniers.
198 — B, Quar.
199 — B, Il s’aquila. — A, comme.
200 — B, A icest mot falt li flabeaus. — Les deux vers suivants manquent à B.
Cette histoire, versifiée par Imbert, a été reprise par le comte de Chevigné dans ses Contes rémois.