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TABLE GÉNÉRALE DES CHAPITRES.


Volume.
Ch. 27. — Couardise mère de cruauté. — La poltronnerie est mère de la cruauté (Du duel ; des sévices exercés sur les suppliciés après leur mort) 
 II
Ch. 28. — Toutes choses ont leur saison. — Chaque chose en son temps (Sur la vieillesse) 
 II
Ch. 29. — De la vertu 
 II
Ch. 30. — D’vn enfant monstrueux 
 II
Ch. 31. — De la colère 
 II
Ch. 32. — Deffence de Seneque et de Plutarque. 
 II
Ch. 33. — L’Histoire de Spurina. — (Le rôle essentiel de l’âme est de maîtriser les passions ; particularités afférentes à Jules César) 
 II
Ch. 34. — Obseruations sur les moyens de faire la guerre de Iulius Cæsar 
 II
Ch. 35. — De trois bonnes femmes. — (Sur le mariage et l’affection conjugale) 
 II
Ch. 36. — Des plus excellents hommes. — (Sur Homère, Alexandre et Epaminondas) 
 III
Ch. 37. — De la ressemblance des enfants aux pères. — (Sur les maux de la vieillesse, sur la médecine) 
 III


LIVRE TROISIÈME


Ch. 1. — De l’vtile et de l’honneste 
 III
Ch. 2. — Du repentir 
 III
Ch. 3. — De trois commerces. — (De la société des hommes, des femmes et de celle des livres) 
 III
Ch. 4. — De la diuersion 
 III
Ch. 5. — Sur des Vers de Virgile. — (De l’amour, de la jalousie ; en ces matières, les reproches que s’adressent réciproquement les deux sexes se valent) 
 III
Ch. 6. — Des coches. — (Meilleur emploi à faire, par un roi, de ses richesses ; sur le peu d’étendue des connaissances humaines) 
 III
Ch. 7. — De l’incommodité de la grandeur 
 III
Ch. 8. — Sur l’art de conférer. — (La conversation forme le caractère, apprend à supporter la contradiction ; difficulté de juger à bon escient, de discerner chez un auteur ce qui lui appartient en propre) 
 III
Ch. 9. — De la vanité. — (Danger des changements dans le gouvernement d’un état ; des voyages ; des soins du ménage) 
 III
Ch. 10. — De mesnager sa volonté. — Il faut contenir sa volonté (Réserve à apporter dans les services qu’on est tenté de rendre à autrui) 
 III
Ch. 11. — Des boyteux. — (Tendance de l’esprit humain pour le merveilleux) 
 III
Ch. 12. — De la physionomie. — (Combien mieux que tous les enseignements de la philosophie, la nature nous porte à la résignation) 
 III
Ch. 13. — De l’expérience. — (Sur l’obscurité et le peu d’équité des lois ; l’incertitude de la médecine ; le régime convenant le mieux à la santé ; le meilleur usage de la vie, des plaisirs ; sur la doctrine d’Épicure) 
 III
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