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Page:Montaigne - Journal du Voyage en Italie, 1774, vol1.djvu/53

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Préliminaire.

turelle n’entre pour rien dans ſes obſervations, s’il n’eſt queſtion d’eaux minérales ; les arbres, les plantes, les animaux l’occupent fort peu. Il ſe repentit à la vérité de n’avoir pas vu ſur la route de Florence le Volcan de Pietra mala, qu’il laiſſa par pur oubli, ſans ſe détourner. On le voit aſſez curieux des machines hydrauliques & autres, & de toutes les inventions utiles. Il en décrit même quelques-unes, & ſes deſcriptions, pour n’être pas fort claires, pour manquer ſouvent de préciſion, parce que les termes apparemment lui manquoient, n’en prouvent pas moins ſon attrait, ſon goût pour ce genre de curioſités. Un autre objet d’obſervation plus conforme à ſa phi-