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CHAPITRE IX LE COMPÈRE DE MOUTONNET

L’atmosphère était traversée de vents attiédis. On ne craignait plus le froid. Alcindor ne faisait plus allumer le calorifère de son manège. On exposait les cages des singes au grand air. Les bourgeons commençaient à éclater sur les arbres, et quand Pépé allait se promener dans les terrains vagues du voisinage, il trouvait des fleurs jaunes qu’il rapportait à Mme Alcindor et à Margarita.