Aller au contenu

Page:Montesquieu - Œuvres complètes, éd. Laboulaye, t6.djvu/346

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
330
MONTESQUIEU ET LA CENSURE.


Livre XXVII, chapitre I.


TEXTE PRIMITIF.

Les testaments étant, comme je l'ai dit, une loi du peuple, ils dévoient être faits avec la force de commandement et par des paroles que l'on appela discrètes [1] et impératives.

TEXTE CARTONNÉ.

Les testaments étant, comme je l’ai dit, une loi du peuple, ils dévoient être faits avec la force du commandement et par des paroles que l'on appela directes et impératives.


Livre XXX, chapitre XI.


TEXTE PRIMITIF.

...et, au lieu que dans le commencement de la première, il y avoit dans les villes à peu près la même administration que chez les Romains : des corps de bourgeoisie, un sénat, des corps de judicature, on ne trouve guère, vers le commencement de la troisième, qu’un seigneur et des serfs.

TEXTE CARTONNÉ.

...et au lieu que, dans le commencement de la première, il y avait dans les villes des corps de bourgeoisie, on ne trouve guère, vers le commencement de la troisième, qu’un seigneur et des serfs.

  1. Simple faute d’impression.
    _____________