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TABLE ANALYTIQUE


du génie de la nation françoise à l’égard des maires du palais, XXXI, 4.

Arcades. Ne dévoient la douceur de leurs mœurs qu’à la musique, IV, 8.

ARACADIUS. Maux qu’il causa à l’empire, en faisant la fonction de Juge, VI, 5. Ce qu’il pensoit des paroles criminelles, XII, 12. Appela les petits enfants à la succession de l’aieul maternel, XXVII, 1.

ARACADIUS et HONORIUS. Furent tyrans, parce qu’ils étoient foibles, XII, 8. Loi injuste de ces princes, XII, 30.

Aréopage. Ce n’étoit pas la môme chose que le sénat d’Athènes, V, 7. Justifié d’un Jugement qui paroît trop sévère, V, 19.

Aréopagite. Puni avec justice pour avoir tué un moineau, V, 19.

Argent. Funestes effets qu’il produit, IV, 6. Peut être proscrit d’une petite république : nécessaire dans un grand état, IV, 7. Dans quel sens il seroit utile qu’il y en eût peu : dans quel sens il seroit utile qu’il y en eût beaucoup, XXII, 5. De sa rareté relative à celle de l’or, XXII, 9. Différents égards sous lesquels il peut être considéré : ce qui en fixe la valeur relative : dans quel cas on dit qu’il est rare : dans quel cas on dit qu’il est abondant dans un état, XXII, 10. Il est juste qu’il produise des intérêts à celui qui le prête, XXII, 19. Voyez Monnoie.

Argiens. Actes de cruauté de leur part, détestés par tous les autres états de la Grèce, VI, 12.

Argonautes. Étoient nommés aussi Miniares, XXI, 7.

Argos. L’ostracisme y avoit lieu, XXIX, 7.

Ariane (l’). Sa situation. Sémiramis et Cyrus y perdent leurs armées ; Alexandre une partie de la sienne, XXI, 8.

ARISTÉE. Donna des lois à la Sardaigne, XVIII, 3.

Aristocratie. Ce que c’est, II, 2. Les suffrages ne doivent pas s’y donner comme dans la démocratie, ibid. Les suffrages y doivent être secrets. Quelles sont les lois qui en dérivent, ibid. Entre les mains de qui y réside la souveraine puissance, II, 3. Ceux qui y gouvernent sont odieux : combien de distinctions y sont affligeantes : comment elle peut se rencontrer avec la démocratie, quand elle est renfermée dans le sénat : comment elle peut être divisée en trois classes : autorité de chacune de ces trois classes. Il est utile que le peuple y ait une certaine influence dans le gouvernement : Quelle est la meilleure qui soit possible : Quelle est la plus imparfaite, ibid. Quel en est le principe, III, 4. Inconvénients de ce gouvernement, ibid. Quels crimes commis par les nobles y sont punis : quels restent impunis, ibid. Quelle est l’âme de ce gouvernement, ibid. Comment les lois doivent se rapporter au principe de ce gouvernement V, 8. Quelles sont les principales sources des désordres qui y arrivent, ibid. Les distributions faites au peuple, y sont utiles, ibid. Usage qu’on y doit faire des revenus de l’état, ibid. Par qui les tributs y doivent être levés, ibid. Les lois y doivent être telles, que les nobles soient contraints de rendre justice au peuple, ibid. Les nobles ne doivent y être ni trop pauvres,