Aller au contenu

Page:Montesquieu - Œuvres complètes, éd. Laboulaye, t6.djvu/426

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
410
TABLE ANALYTIQUE


fédérative, et par là, regardée en Europe comme éternelle, IX, 1. Cette république fédérative est plus parfaite que celle d’Allemagne ; en quoi, IX, 2. Comparée, comme république fédérative, avec celle de Lycie, IX, 3. Ce que doivent faire ceux qui y représentent le peuple, XI, 6. Pourquoi n’est pas subjuguée par ses propres armées, XI, 6. Pourquoi le gouvernement modéré y convient mieux qu’un autre, XVIII, 6. Quel est son commerce, XX, 4. Dut son commerce à la violence et à la vexation, XX, 5. Fait tel commerce sur lequel elle perd, et qui ne laisse pas de lui être fort utile, XX, 6. Pourquoi les vaisseaux n’y sont pas si bons qu’ailleurs, XXI, 6. C’est elle qui, avec la France et l’Angleterre, fait tout le commerce de l’Europe, XXI, 21. C’est elle qui règle le prix du change, XXII, 10.

Hollandais. Profits qu’ils tirent du privilège exclusif qu’ils ont de commercer au Japon, et dans quelques autres royaumes des Indes, XX, 9. Font le commerce sur les errements des Portugais, XXI, 21. C’est leur commerce qui a donné quelque prix à la marchandise des Espagnols, XXI, 22.

HOMÈRE. Quelles étoient, de son temps, les villes les plus riches de la Grèce, XXI , 7. Commerce des Grecs avant lui, ibid.

Homicide. Comment ce crime étoit puni chez les Germains, XVIII, 22. Homicides. Doit-il y avoir des asiles pour eux ? XXV, 3.

Hommage. Origine de celui que doivent les vassaux, XXXI, 33.

Hommes. Leur bonheur comparé à celui des bêtes, I, 1. Comme êtres physiques, sujets à des lois invariables ; comme être intelligents, violent toutes les lois, pourquoi. Comment rappelés sans cesse à l’observation des lois, ibid. Quels ils seroient dans l’état de pure nature, I, 2. Par quelles causes se sont unis en société, ibid. Changements que l’état de société a opérés dans leur caractère, I, 3. Leur état relatif à chacun d’eux en particulier, et relatif aux différents peuples, quand ils ont été en société, ibid. Leur situation déplorable et vile, dans les états despotiques, III, 8 et 10. Leur vanité augmente à proportion du nombre de ceux qui vivent ensemble, VII, 1. Leur penchant à abuser de leur pouvoir, XI, 4. Quelle est la connoissance qui les intéresse le plus, XII, 2. Leurs caractères et leurs passions dépendent des différents climats ; raisons physiques, XIV, 2. Plus les anses physiques les portent su repos, plus les causes morales doivent les en éloigner ; XIV, 5. Naissent tous égaux ; l’esclavage est donc contre nature, XV, 7. Beauté et utilité de leurs ouvrages, XVIII, 6. De leur nombre, dans le rapport avec la manière dont ils se procurent la subsistance, XVIII, 10. Ce qui les gouverne, et ce qui forme l’esprit général qui résulte des choses qui les gouvernent, XIX, 4. Leur propagation est troublée en mille manières, par les passions, par les fantaisies et par le luxe, XXIII, 1. Combien vaut un homme en Angleterre. Il y a des pays où un homme vaut moins que rien, XXIII, 17. Sont portés à craindre, ou à espérer. Sont fripons en détail ; et, en