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Page:Montesquieu - Œuvres complètes, éd. Laboulaye, t6.djvu/444

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TABLE ANALYTIQUE


elles étoient toutes personnelles : pourquoi, XXVIII, 2. Comment on leur substitua les coutumes, XXVIII, 12. En quoi différaient de la loi salique, XXVIII, 13. Celles qui concernoient les crimes, ne pouvoient convenir qu’à des peuples simples, et qui avoient une certaine candeur, ibid. Admettaient toutes, excepté la loi salique, la preuve par le combat singulier, XXVIII, 14. On y trouve des énigmes à chaque pas, XXVIII, 20. Les peines qu’elles infligeoient aux criminels étoient toutes pécuniaires, et ne demandoient point de partie publique, XXVIII, 36. Pourquoi roulent presque toutes sur les troupeaux, XXX, 6. Pourquoi sont écrites en latin : pourquoi on y donne, aux mots latins, un sens qu’il n’avoient pas originairement : pourquoi on en a forgé de nouveaux, XXX, 14. Pourquoi ont fixé le prix des compositions : ce prix est réglé avec une précision et une sagesse admirables, XXX, 19.

Lois civiles. Celles d’une nation peuvent difficilement convenir à une autre, I, 3. Doivent être propres au peuple pour qui elles sont faites, et relatives aux principes et à la nature de son gouvernement, au physique et au climat du pays, aux mœurs, aux inclinations et à la religion des habitants, III, 1 ; V, 1 et 8. Pourquoi l’auteur n’a point séparé les lois civiles des lois politiques, I, 3. Qui sont celles qui dérivent de la nature du gouvernement, II, 1. Où doivent être déposées dans une monarchie, II, 4. La noblesse et le conseil du prince sont incapables de ce dépôt, ibid. Doivent être relatives, tant au principe qu’à la nature du gouvernement, II, 5. Doivent remédier aux abus qui peuvent résulter de la nature du gouvernement, V, 10. Différents degrés de simplicité qu’elles doivent avoir dans les différents gouvernements, VI, 1. Dans quel gouvernement et dans quel cas on en doit suivre le texte précis dans les jugements VI, 3. A force d’être sévères, elles deviennent impuissantes : exemple tiré du Japon, VI, 13. Dans quoi cas, et pourquoi elles donnent leur confiance aux hommes. VI, 17. Peuvent régler ce qu’on doit aux autres, et non tout ce qu’on se doit à soi-même, VII, 10. Sont tout à la fois clairvoyantes et aveugles : quand et par qui leur rigidité doit être modérée, XI, 6. Les prétextes spécieux que l'on emploie pour faire paroître justes celles qui sont les plus injustes, sont la preuve de la dépravation d’une nation, XII, 18. Doivent être différentes chez les différents peuples, suivant qu’ils sont plus ou moins communicatifs, XIV, 10. De celles des peuples qui ne cultivent point les terres, XVIII, 13. Celles des peuples qui n’ont point l’usage de la monnoie XVIII, 15. Celles des Tartares, au sujet des successions, XVIII, 21. Quelle est celle des Germains, d’où Ton a tiré ce que nous appelons la loi salique, XVIII, 22. Considérées dans le rapport qu’elles ont avec les principes qui forment l’esprit général, les mœurs et les manières d’une nation, Livre XIX. Combien, pour les meilleures lois il est nécessaire que les esprits soient préparés, XIX, 2. Gouver-