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ET ALPHABÉTIQUE.


arrêter les crimes, et non pour faire changer les manières d’une nation, XIX, 15. Imposées par les lois romaines contre les célibataires, XXIII, 21. Une religion qui n’en annonceroit point pour l’autre vie, n’attacheroit pas beaucoup, XXV, 2. Celles des lois barbares étoient toutes pécuniaires ; ce qui rendoit la partie publique inutile, XXVIII, 36. Pourquoi il y en avoit tant de pécuniaires chez les Germains qui étoient si pauvres, XXX, 19.

Peines fiscales. Pourquoi plus grandes en Europe qu’en Asie, XII, 11.

Peines pécuniaires. Sont préférables aux autres, VI, 18. On peut les aggraver par l’infamie, ibid.

Pèlerinage de la Mecque. Gengiskan le trouvoit absurde : pourquoi, XXV, 3.

PENN. Comparé à Lycurgue, IV, 6.

Pénestes. Peuple vaincu par les Thessaliens. Étoient condamnés à exercer l’agriculture, regardée comme une profession servile, IV, 8.

Pénitences. Règles, puisées dans le bon sens, que l’on doit suivre quand on impose des pénitences aux autres ou à soi-même, XXIV, 12. Pensées. Ne doivent point être punies, XII, 11.

PEONIUS. La perfidie qu’il fit à son père prouve que les offices des comtes étoient annuels, et qu’ils les rendoient perpétuels à force d’argent, XXXI, 1.

PEPIN. Fit rédiger les lois des Frisons, XXVIII, 1. Constitution de ce prince qui ordonne de suivre la coutume partout où il n’y a pas de lois ; mais de ne pas préférer la coutume à la loi, XXVIII, 12. Explication de cette constitution, ibid. De son temps, les coutumes avoient moins de force que les lois : on préféroit cependant les coutumes ; enfin elles prirent entièrement le dessus, ibid. Comment sa maison devint puissante : attachement singulier de la nation pour elle, XXXI, 6. Se rendit maître de la monarchie en protégeant le clergé, XXXI, 10. Précautions qu’il prit pour faire rentrer les ecclésiastiques dans leurs biens, XXXI, 11. Fait oindre et bénir ses deux fils en même temps que lui : fait obliger les seigneurs à n’élire jamais personne d’une autre race. XXXI, 17. Partage son royaume entre ses deux fils, ibid. La foi et hommage a-t-elle commencé à s’établir de son temps ? XXXI, 33.

Pères. Doivent-ils être punis pour leurs enfants ? VI, 20. C’est le comble de la fureur despotique, que leur disgrâce entraîne celle de leurs enfants et de leur femme, XII, 30. Sont dans l’obligation naturelle d’élever et de nourrir leurs enfants ; et c’est pour trouver celui que cette obligation regarde, que le mariage est établi, XXIII, 2. Est-il juste que le mariage de leurs enfants dépende de leur consentement ? XXIII, 7. Il est contre la nature qu’un père puisse obliger sa fille à répudier son mari, surtout lorsqu’il a consenti au mariage, XXVI, 3. Dans quels cas sont autorisés, par le droit naturel, à exiger de leurs enfants qu’ils les nourrissent, XXVI, 5. Sont-ils obligés, par le droit naturel, de donner à leurs enfants un métier pour gagner leur vie ? ibid. La loi naturelle leur ordonne de nourrir leurs enfants ; mais non pas de les faire héritiers, XXVI, 6. Pourquoi ne peuvent pas épouser leurs filles, XXVI, 14. Pou-