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TABLE ANALYTIQUE


comment on y doit mettre un frein à la cupidité du peuple dans ses jugements, VI, 5. La clémence y est moins nécessaire que dans la monarchie, VI, 21. Les républiques finissent par le luxe, VII, 4. La continence publique y est nécessaire, VII, 8. Pourquoi les mœurs des femmes y sont austères, VII, 9. Les dots des femmes y doivent être médiocres, VII, 15. La communauté de biens entre mari et femme n’y est pas si utile que dans une monarchie, ibid. Les gains nuptiaux des femmes y seroient pernicieux, ibid. Une tranquillité parfaite, une sécurité entière, sont funestes aux états républicains, VIII, 6. Propriétés distinctives de ce gouvernement, VIII, 16. Comment pourvoit à sa sûreté, IX, 1. Il y a, dans ce gouvernement, un vice intérieur, auquel il n’y a point de remède, et qui le détruit tôt ou tard, ibid. Esprit de ce gouvernement, IX, 3. Quand et comment peut faire des conquêtes, X, 6. Conduite qu’elle doit tenir avec les peuples conquis, X, 8. On croit communément que c’est l’état où il y a le plus de liberté, XI, 2. Quel est le chef-d’œuvre de législation dans une petite, république, XI, 11. Pourquoi quand elle conquiert, elle ne peut pas gouverner les provinces conquises, autrement que despotiquement, XI, 19. Il est dangereux d’y trop punir le crime do lèse-majesté, XII, 18. Comment on y suspend l’usage de la liberté, XII, 10. Lois qui y sont favorables à la liberté des citoyens, XII, 20. Quelles y doivent être les lois contre les débiteurs, XII, 21. Tous les citoyens y doivent-ils avoir la liberté de sortir des terres de la république ? XII, 30. Quels tributs elle peut lever sur les peuples qu’elle a rendus esclaves de la glèbe, XIII, 5. On y peut augmenter les tributs, XIII, 13. Ses revenus sont presque toujours en régie, XIII, 10. La profession des traitants n’y doit pas être honorée, XIII, 20. La pudeur des femmes esclaves y doit être à couvert de l’incontinence de leurs maîtres, XV, 12. Le grand nombre d’esclaves y est dangereux, XV, 13, n est plus dangereux d’y armer les esclaves que dans une monarchie, XV, 14. Règlement qu’elle doit faire touchant l’affranchissement des esclaves, XV, 18. L’empire sur les femmes n’y pourroit pas être bien exercé, XVI, 9. Il s’en trouve plus souvent dans les pays stériles que dans les pays fertiles, XVIII, 1. Il y a des pays où il seroit impossible d’établir ce gouvernement, XIX, 2. S’allie très-facilement avec la religion chrétienne, XIX, 18. Le commerce d’économie y convient mieux que celui de luxe, XX, 5. On y peut établir un port franc, XX, 11. Comment doit acquitter ses dettes, XXII, 18. Les bâtards y doivent être plus odieux que dans les monarchies, XXIII, 6. Il y en a où il est bon de faire dépendre les mariages des magistrats, XXIII, 7. On y réprime également le luxe de vanité et celui de superstition, XXV, 7. L’inquisition n’y peut former que de malhonnêtes gens, XXVI, 11. On y doit faire en sorte que les femmes ne puissent s’y prévaloir, pour le luxe, ni de leurs richesses, ni de l’espérance de leurs richesses,