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ET ALPHABÉTIQUE.


et les massacres qu’on leur reproche, s’ils eussent été chrétiens, XXIV, 3. Loi injuste de ce peuple, touchant le divorce, XXVI, 3. Leurs règlements et leurs lois civiles, pour conserver les mœurs des femmes, furent changés quand la religion chrétienne eut pris naissance, XXVI, 9. Leurs lois défendoient certains mariages, et même les annuloient, XXVI, 13. Désignoient les frères et les cousins germains par le même mot, XXVI, 14. Quand il s’agit de décider du droit à une couronne, leurs lois civiles ne sont pas plus applicables que celles d’aucun autre peuple, XXVI, 16. Origine et révolutions de leurs lois sur les successions, Livre XXVII. Pourquoi leurs testaments étaient soumis à des formalités beaucoup plus nombreuses que ceux des autres peuples, XXVII, 1. Par quels moyens ils cherchèrent à réprimer le luxe de leurs femmes, ibid. Gomment les formalités leur fournissoient des moyens d’éluder la loi ibid. Tarif de la différence que la loi salique mettoit entre eux et les Francs, XXVIII, 3. Ceux qui habitoient dans le territoire des Wisigoths, étoient gouvernés par le code théodosien, XXVIII, 3. La prohibition de leurs mariages avec les Goths, fut levée par Récessuinde : pourquoi, XXVIII, 7. Pourquoi n’avoient point de partie publique, XXVIII, 36. Pourquoi regardoient comme un déshonneur de mourir sans héritier, XXIX, 8. Pourquoi ils inventèrent les substitutions, ibid. Il n’est pas vrai qu’ils furent tous mis en servitude, lors de la conquête des Gaules par les barbares ; ce n’est donc pas dans cette prétendue servitude qu’il faut chercher l’origine des fiefs, XXX, 5. Ce qui a donné lieu à cette fable, XXX, 11. Leurs révoltes, dans les Gaules, contre les conquérants, sont la principale source de la servitude de la glèbe et des fiefs, ibid. Payoient seuls des tributs dans les commencements de la monarchie françoise, XXX, 12. Quelles étoient leurs charges dans la monarchie des Francs. XXX, 13. Ce n’est point de leur police générale que dérive ce qu’on appeloit autrefois, dans la monarchie, census ou cens : ce n’est point de ce cens chimérique que dérivent les droits des seigneurs : preuves, XXX, 15. Ceux qui, dans la domination françoise, étoient libres, marchoient à la guerre sous les comtes, XXX, 17. Leurs usages sur l’usure, D. article Usure. Voyez Droit romain, Lois romaines, Rome.

Romans de chevalerie. Leur origine, XX VIII, 22.

Rome ancienne. Une des principales causes de sa ruine fut de n’avoir pas fixé le nombre des citoyens qui dévoient former les assemblées, II, 2. Tableau raccourci des différentes révolutions qu’elle a essuyées, ibid. Pourquoi on s’y détermina si difficilement à élever les plébéiens aux grandes charges, ibid. Les suffrages secrets furent une des grandes causes de sa chute, ibid. Sagesse de sa constitution, ibid. Comment défendoit son aristocratie contre le le peuple, II, 3. Utilité de ses dictateurs, ibid. Pourquoi ne put rester libre après Sylla, III, 3. Sources de ses dépenses publi-