Page:Montesquieu - Considérations, éd. Barckhausen, 1900.djvu/28

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

rière elle. Mais, au fond, on l’aperçoit au milieu de ruines, consternée à son tour et pleurant sur les débris d’une aigle rompue.

Il manquerait quelque chose à cet Avant-Propos, si nous n’exprimions pas notre gratitude à M. Henri Doniol et à la famille de Montesquieu, qui nous ont fourni l’occasion et les moyens de faire celle édition nouvelle des Considérations.

Nous avons à remercier aussi M. Henri Monnier, professeur à la Faculté de Droit, et M. Raymond Céleste, conservateur de la Bibliothèque de la Ville de Bordeaux, pour les très précieux renseignements dont nous leur sommes redevable.

Enfin, nous n’oublierons pas de dire combien nous sommes obligé à M. le baron de Montesquieu, à M. Ernest Labadie et à M. Reinhold Dezeimeris, de nous avoir confié leurs plus rares éditions de la Grandeur des Romains.

Ce n’est pas tout.

Au moment de prendre congé de l’Imprimerie nationale, nous tenons à nous louer encore une fois, publiquement, du concours si courtois que nous y avons trouvé, sous la direction de M. Arthur Christian, comme sous celle de son prédécesseur.