Page 3, ligne 7. — Cet article a été écrit par Montesquieu, au haut de la page 2 du tome Ier des Pensées, lorsqu’il y avait consigné déjà une réflexion sur la dévotion et le commencement de ses conseils à son fils.
Page 7, lignes 4 à 7. — A la place de ces deux alinéas, Montesquieu avait mis d’abord : « Il faut que je rende grâces à mon bon génie de ce que je suis né très heureux. »
Page 8, lignes 1 à 3. — Avant cet alinéa, Montesquieu en avait écrit d’abord un qu’il a très soigneusement rayé : « Je suis bien aise d’obtenir l’estime publique ; mais je sens qu’à certains égards je me consolerais de sa perte. »
Page 9, lignes 6 à 9. — Cet alinéa est écrit dans la marge et d’une encre différente.
Page 13, lignes 9 à 18. — Ce passage est à rapprocher de ce que Montesquieu dit, dans ses Voyages, sur la cour de l’empereur Charles VI (Voyages, tome Ier, page 3).
Page 13, lignes 18 à 23.— Ce passage est à rapprocher de ce que Montesquieu dit, dans ses Voyages, sur l’entrevue qu’il eut avec Victor-Amédée II (Voyages, tome Ier, pages 109 et 110).
Page 13, lignes 23 et 24. — Il s’agit ici de la reine Caroline, fille de Jean-Frédéric, margrave de Brandebourg-Anspach (1683-1737), qui avait épousé Georges II, roi d’Angleterre, en 1705.
Page 13, ligne 29. — A partir des mots Quelque temps, la fin de l’article a été ajoutée après coup.
Page 13, ligne 30. — Il s’agit ici de Charles Lennox, 2e duc de Richmond, petit-fils du roi Charles II et de la duchesse de Portsmouth (1701-1750).
Page 15, ligne 14. — Cet article, bien qu’il ne soit qu’une seconde rédaction du précédent, est criblé de corrections dans le manuscrit. On le retrouve à peu près tel quel (sauf le changement du temps des verbes) dans l’Histoire véritable (page 80 des Mélanges inédits de Montesquieu).
Notre auteur a donc au moins retouché son conte à une époque