(1520-1584) est l’auteur d’un traité qui a pour titre: De Judiciis Romanorum Libri III, et qui fut publié à Venise, en 1574.
Page 122, lignes 9 à 11. — La citation est tirée de Gravina, Origines du Droit, liv. III, chap. LXXXVI.
Page 122, ligne 16. — Au lieu de liv. Ier, chap. Xxviii, il faut lire, liv. X, chap. xxin.
Page 123, ligne 7.— Platon, Lois, liv. IX, chap. XII.
Page 123, note 1. — Plutarque, Vie (TAgésilas, chap. xxx.
Page 124, ligne 6. — Aristote, Politique, liv. II, chap. ix.
Page 124, note 1. — Plutarque, Vie d’Agis, chap. v.
Page 125, note 1.— Appien, Guerres Puniques, chap. LIV.
Page 128, note 1. — Jean-Baptiste Du Halde,, Jésuite (16741743), est l’auteur d’une Description de la Chine, en 4 vol. in-fol., publiée à Paris, en 1735.
Page 129, ligne 18. — Le Meng-Tsée est le quatrième livre classique des Chinois. Il fut rédigé par le philosophe Meng-Tseu, vers l’an 3oo av. J.-C. C’est au livre II, chap. VI, art. 7, que se trouve le passage dont il est ici question.
Page 133, note 2. — Strabon, liv. X, chap. IV.
Page 134, note 1. — Tacite, Histoires, liv. I, chap. IX.
Page 134, note 2. — Tacite, Histoires, liv. I, chap. IX.
Page 134, note 3. — L’ouvrage cité est, sans doute, l’Introduction à l’Histoire des principaux Royaumes et États dans l’Europe, ouvrage dont une traduction française parut à Leyde, en 1710, et qui figure dans le catalogue de la Bibliothèque de La Brède (page 446).
Page 135, lignes 12 et i3. — Xénophon, Cyropédie, liv. VI, chap. I.
Page i36, ligne 27. — Jean-Baptiste Dubos (167o-1742) est l’auteur de cette Histoire critique de l’Établissement de la Monarchie française dans les Gaules, qui fut publiée à Paris, en 1734, et dont Montesquieu combattit très vivement les théories.
Page i36, note 1. — Tite-Live, liv. V, chap. xxn et xxin.
Page 136, note 2. — Tite-Live, liv. V, chap. XXX.
Page 137, lignes 7 et 8. — Xénophon, Économique, chap. IV.
Page 137, ligne 12. — Diodore de Sicile, liv. I, chap. Lxxiii.
Page 137, ligne 3i. — Tacite, Germanie, chap. vu.
Page 138, ligne 28. — Le passage de Sidoine Apollinaire que vise Montesquieu paraît être celui qui commence, dans le Carmen VII, au vers 310.
Page 139,note 1.— Cicéron,Z)«/’/rtVf«<ton,liv.II,chap.XLix.