Page:Montesquieu - Pensées et Fragments inédits, t2, 1901.djvu/183

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Play :< Si doux ! Il me semble que je vois un vers

qui file de la soye. »

1363 (1374. II, f° 197).—Je disois du marquis de

M :« Il a une familiarité indécente, qui déplaît

à ceux qui sont au-dessus de lui, et à ceux qui sont ; au-dessous. »

d364(1593. II, f ° 45b). — Je disois de V , dont

le caractère étoit misérable : « Il ressemble [à ces] cochenilles, qui donnent le plus beau coloris de la nature, et ce ne sont que des vers.» 1o

1365(1623. II, f°493). — Je disois du T :« Il est

faux par le cœur, hypocrite du corps, gauche de l’esprit, puérilement bas, stupidement haut, rusé sans lumières, fin et maladroit.

1366(2109. III, f° 349). — L. P. S.— Il paroîtêtre .3 dans la société civile, et il en est dehors, également incapable de rendre service et d’en recevoir : c’est un homme impassible.

1307 (1127. II, f° 77 v°). — Je ne suis la dupe ni de la douleur de Made de Sevac (?), ni de l’amour de 2o Mad" de Berville pour son fils : tout cela est fait pour faire du bruit.

1368(1143. II, f° 78 vo).—Je disois de Made de Bonneval que personne n’entendoit mieux qu’elle le cérémonial de l’amour et de l’amitié. 20