1369(1242. II, f° 10a v°). —Je disois de Mad« de Lixin qu’elle avoit une jolie manière d’avoir de l’esprit.
1370(137O. II, f°19f)v°). — Je disois de la d
5 d’Ég (sic) : «Elle a de l’esprit, mais c’est de
la plus pauvre espèce : elle a l’orgueil d’un pédant et tous les défauts d’un laquais. >
1371 (1393. II, f° 201 v°). — Maupertuis dit que Voltaire est l’homme qu’il connoît qui a plus d’esprit en
1o un temps donné. Je disois aussi que la duchesse [d’Éguillon] étoit la femme de France qui mentoit le plus en un temps donné.
1372 (1394. II, f° 202).— Du d’Ég (sic).
— Je disois : « Elle est bien plus amie de ses enne
15 mis que de ses amis. »
1373 (1406. II, f° 2o3). —Je disois o/Mad* [d’Éguillon] qu’elle étoit tantôt un songe, tantôt un délire.
1374 (1415. II, f° 204). — Mad° d’Éguillon (sic) nous disoit, pour se vanter, une chose qu’elle n’avoit ni
2o faite, ni dite, quoiqu’elle se l’attribuât. Je disois : « Comment est-on aussi modeste auprès de soi, pour être vain auprès des autres ?»
1375(1425. II, f°2o5).— Je disois de la princesse de Rohan : « Je commence toujours pour elle une 25 admiration que je n’achève pas. »