Page:Montesquieu - Pensées et Fragments inédits, t2, 1901.djvu/77

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941 (1 137. II, i° 78 v°). — L’Essai de Raymond sur la poésie : ce sont deux ou trois idées qui ont passé par un esprit stérile.

942 (979. II, f° 27 v°). — Aslruc. — Il n’a jamais rien dit ; il a toujours répété. 5

943 (1243. II, f° 102 v°). — Je parlois d’Astruc et de sa folie de vouloir toujours apprendre les choses qu’il ne sait pas, à ceux qui les savent.

944(1647. III, f° 7 v°). — Je disois d’Astruc et de Daube : « Daube ne pense qu’à ce qu’il dit, et point 1o du tout à ce que vous dites. Astruc ne pense qu’à ce que vous dites, et jamais à ce qu’il dit. J’aime mieux Daube : il ne vous offense pas, mais vous ennuyé ; Astruc vous ennuye et vous offense. > J’ajoute : Daube cherche le vrai ; Astruc, le faux. 15

945(1231. II, f° 100). — « M. Coste (disois-je, en riant) croit avoir fait Montagne (sic), et il rougit quand on le loue devant lui. »

946*(1441. II, f°211). — J’ai un honnête homme de mes amis qui a fait de belles notes sur Mon- 1o tagne (sic). Je suis sûr qu’il croit avoir fait les Essais. Lorsque je le loue devant lui, il prend un air modeste, et me fait une petite révérence, et rougit un peu.

947* (821. I, p. 528). —*Je disois de l’abbé de S. : 15