Page:Montesquieu Esprit des Lois 1777 Garnier 4.djvu/421

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
403
DES MATIERES.

droit qu’ils ont d’élire les évêques & les abbés, IV. 155.

Election à la couronne de France. Appartenoit sous la seconde race aux grands du royaume : comment en usoient, IV. 161 & suiv.

Election des Papes. Pourquoi abandonnée par les empereurs au peuple de Rome, IV. 155.

Eléens. Comme prêtres d’Apollon, jouissoient d’une paix éternelle : sagesse de cette constitution religieuses, III. 146.

Elotes. Pourquoi les Athéniens n’augmenterent jamais les tributs qu’ils levoient sur eux, II. 5.

Empereurs romains. Les plus mauvais étoient les plus prodigues en récompenses, I. 138. Maux qu’ils causerent quand ils furent juges eux-mêmes, I. 161. Proportionnerent la rigueur des peines au rang des coupables, I. 183. N’infligerent des peines contre le suicide que quand ils furent devenus aussi avares qu’ils avoient été cruels, III. 417. Leurs rescrits sont une mauvaise sorte de législation, III. 437, 438.

Empire. (l’) A toujours du rapport avec le sacerdoce, III. 105.

Empire d’Allemagne. Pourquoi sortant de la maison de Charlemagne, est devenu électif purement & simplement, IV. 161, 162. Comment en sortit, IV. 201, 202. Est resté électif, parce qu’il a conservé la nature des anciens fiefs, IV. 204.

Empire romain. Les peuples qui le conquirent étoient sortis de la Germanie. C’est dans leurs mœurs qu’il faut chercher les sources des lois féodales, IV. 3, 4.

Emplois militaires. Doit-on forcer un citoyen d’en accepter un inférieur à celui qu’il occupe ? I. 139, 140. Sont-ils compatibles sur la même tête, avec les emplois civils ? I. 140 & suiv.

Emplois publics. Doit-on souffrir que les citoyens les refusent ? I. 138.

Emulation. Est funeste dans un état despotique, I. 67.

Enchantement. Source du préjugé où l’on étoit autrefois qu’il y avoit des gens qui usoient d’enchantement dans les combats, III. 325, 326. Origine de ceux dont il est parlé dans les livres de chevalerie, III. 325 & suiv.