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de lichtfield.

quel plus grand mal t’auroit fait un ennemi mortel ? Mais si cet écrit a l’effet que j’en attends ; si celle qui doit le lire sent le prix d’une âme comme la tienne, puis-je encore avoir des remords ?

» Je joins ici, No 3, la copie de la lettre que j’écrivis au comte, le jour même où je reçus la sienne. Daignez la parcourir. C’est la dernière fois que vous vous occuperez d’un malheureux qui vous conjure lui-même de l’oublier pour jamais. Pour prix de cet effort, voyez au moins comme il vous adoroit.


Copie de la lettre du baron de Lindorf au comte de Walstein, ambassadeur à Pétersbourg.


15 Août, 17…


No III.


« Vous n’avez que trop bien deviné, mon cher comte, ce qui se passe dans le cœur de votre ami. Oui, sans doute, j’ai un aveu à vous faire, et