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Page:Moréas - Iphigénie, 1910.djvu/101

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SCÈNE III

ACHILLE, CLYTEMNESTRE




CLYTEMNESTRE

En entendant ta voix, ô fils de la déesse,
J’ai quitté ma demeure et j’accours où me presse
Mon cœur impatient de sa félicité.

ACHILLE, à part.

Quelle est donc cette femme à la noble beauté ?
Sainte pudeur !
(A Clytemnestre.)