Page:Moréas - Iphigénie, 1910.djvu/131

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jaillir ton sang humain.
Ah ! Comment l’incarnat qui pare ton visage
d’un charme virginal
et la fierté décente et la fleur de ton âge
sauraient vaincre le mal,
puisque l’ambition, la fraude et l’impudence,
le vice injurieux,
ont fait que les mortels sont livrés sans défense
a la haine des dieux !