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Page:Moréas - Iphigénie, 1910.djvu/178

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et te salue encore,
Artémis, Artémis !

UNE CHOREUTE


je vois des boucliers au grand soleil reluire.

UNE AUTRE


je vois de clairs rameaux bercés par le zéphire.

UNE AUTRE


dans l’air et sur la mer, quelle éclatante paix !

UNE AUTRE


la nature sourit aux malheurs, aux forfaits.

UNE AUTRE


autour du temple règne un silence terrible !