Page:Moréas - Iphigénie, 1910.djvu/90

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Quand nous vivions heureux au palais de Mycène,
Quand les dieux bienveillants m’épargnaient toute peine !
C’est assez, et courons, sans plus nous plaindre en vain,
Une dernière fois consulter le devin.
(Il sort.)