Page:Moréas - Poèmes et Sylves, 1907.djvu/138

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Que faudra-t-il à ce cœur qui se joue ;
Ce belliqueur, ah ! qui ferait qu’il plie !
Il lui faudrait la princesse Aurélie,
Il lui faudrait Ismène dont la joue
Passe la neige et la couleur rosine
Que le matin laisse sur la colline.


    Puisque Alison s’en vient, allons
Sous la feuillée où s’aiment les coulombs.