Page:Moréas - Poèmes et Sylves, 1907.djvu/203

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ORE QUE DESSUS MA TETE

Ore, que dessus ma tête,
saturne ennemi tempête ;
de ces innocentes mains
Clothon, du destin instruite,
qu’active file la suite
de mes conforts toujours vains !
Sur le luth je ne dirai,
homme de mauvais courage,
mon ennui, ou d’un outrage
dépit je ne me plaindrai.
Plutôt, d’une ardeur qui passe
Thèbes, Ascrée et la Thrace,