Page:Moréas - Poèmes et Sylves, 1907.djvu/42

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Ah, que de tes jeux, que de tes pleurs
aux rémissions tu l’exhortes,
ah laisse ! Tout l’orage a passé
sur les lys, sur les roses fortes.
Comme un feu de flamme
ton âme et son âme,
toutes deux vos âmes sont mortes.