Page:Moréas - Poèmes et Sylves, 1907.djvu/52

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Soyons les cavaliers cruels. Soyons encor
la farce espagnole : les dagues, les dentelles,
la duègne, le tuteur et le corrégidor,
et Don Garcie, et leurs cautèles mutuelles.
-puis, viens, et que nous chantions, sur la harpe d’or.
L’azur et la candeur, et les amours fidèles.