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Page:Moréas - Poèmes et Sylves, 1907.djvu/84

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C’était comme un purgatoire, où des ombres aux abois
Levaient des fronts honteux,
Et se tordaient les doigts : —
Là, où nous revînmes tous deux,
Avec Psyché, mon âme.

Et je lui dis « n’est-ce pas ? » et je lui dis
« Ah, ces damnés que chasse le regret,
En fleurs bénignes de paradis
Qui jamais les mettrait,
Psyché, mon âme ! »