Page:Moréas - Poèmes et Sylves, 1907.djvu/91

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MON MAL J’ENCHANTE

toi, mauvais œil, ou stellaire
malignité, toujours de travers sonnée heure, ou qui
que tu sois,
être vilain, çà, tu me veux encore malfaire.
Ne viens-tu pas, avec ta bouche d’autrefois,
bruire et siffler ton antienne ?
Ne vas-tu pas, à l’allégresse de mes doigts
mêler ton geste, afin que je me ressouvienne !