Aller au contenu

Page:Morville - Bijou du Parnasse, 1670.pdf/148

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

140 Bijou du Parnaffe. son pouvoir ; mais voyant que pas une personne raisonnable ne vouloit satisfaire à ses defirs, il gagna l’esprit d’un jeune Enfant étourdy comme luy, pour s’en servir dans son injuste & barbare dessein. Vne de mes Compagnes m’eftoit venuë voir dans ma Cabanne, & toutes deux ensemble nous parlions des gentillesses de ce pauvre petit animal, lors que je l’entendis crier, je me tournay de son cofté toute saisie de crainte, & je vis Hilas ofter son pied de deflus sa teste. Auffi-toft. que ce petit malheureux.fut déchargé d’un firude fardeau, ,