Page:Motte - Celide - vol 1.djvu/81

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ques unes des brillantes couleurs, qui ornaient ſon teint quand il était en ſanté, vinrent achever d’effacer les cruelles traces de la mort, qui peu auparavant avaient porté l’alarme dans le cœur de Célide : car enfin, il ne pouvait douter qu’elle l’eut entendu ; il avait même apperçu quelques-unes de ſes larmes ; & il penſa que la modeſtie, & la préſence de ſon pere, étaient les ſeuls motifs qui l’empêchaient de s’expliquer plus favorablement.

Le Comte fort ſurpris, du changement qu’il remarqua, dans l’inſtant ſur le viſage du Marquis, appella les Chirurgiens qui étaient dans une au-