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adopté lorsque j’étais dans la richesse ; je ne puis pas l’abandonner aujourd’hui.
GUIGNOL.
Oh ! le brave garçon ! je voudrais l’embrasser.
JÉRÔME.
Mais toi ? tu es marié, tu as des enfants ?
GUIGNOL.
Je suis veuve ; ma Madelon est morte y a trois ans ; mais j’ai une fille, Louison. Il faut que te la voies, c’est une belle fille, va ! je vas l’appeler. Louison ! Louison ! avance ici ;… avance donc, molasse !
Scène X.
les mêmes, LOUISON.
LOUISON, de l’intérieur.
Me v’là, papa ! (Entrant.) Ah ! un m’sieu !
GUIGNOL.
Te sais ben, ton oncle Jérôme dont je t’ai si souvent parlé… Hé ben ! le v’là ! embrasse-le.
LOUISON.
Ah ! mon oncle ! (Elle l’embrasse.)