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JÉRÔME.
Écoute, mon frère… Ta boutique est un peu étroite pour que nous y dînions tout à l’aise. Je vais vous emmener dîner au cabaret. D’autant plus que, si tu le veux, Guignol, ce dîner sera un repas de fiançailles.
GUIGNOL.
Comment ça ?
JÉRÔME.
Je veux te demander la main de ta fille Louison pour Victor, mon fils adoptif.
GUIGNOL.
Monsieur Victor, qui t’a sauvé la vie ! Oh ! je donne mon consentement.
JÉRÔME.
Et toi, Louison ?
LOUISON.
Je ne suis qu’une pauvre fille sans éducation, mon oncle. Comment puis-je devenir la femme d’un jeune homme bien élevé ?
JÉRÔME.
La dot est mon affaire ; & pour l’éducation ça ne sera pas long. Je te ferai donner des maîtres : en six mois tu seras une fille accomplie.