fenêtre qui s’ouvre, je vas enfin pouvoir rentrer sous le toit conjugal ! (On voit tomber le contenu d’un pot de chambre.) Ah ! canaille !… ah ! sampille !… c’est comme ça que te m’arranges !… tu inondes le monde !… T’es ben heureux que je n’aye pas vu d’où ça sortait, grand filou !… je te descendrais tes vitres !… Encore que ça sent pas la rose ! brrrou !… que ça infeste !… Va-nus-pieds ! propre à rien !… je t’en paierai des rafraîchissements de cette sampote[1] !… Rouvre donc ta lucarne, que je la retrouve demain matin, grand lâche !… Ah ! te n’aimes pas le bruit !… Ah ! te veux qu’on te laisse dormir !… Je vas t’en faire du vacarme, gredin !… Te peux rejeter encore quéque chose !… (Il frappe à coups redoublés.) Te veux des songes… te veux des rêves dorés, n’est-ce pas ?… Déclare-le, affreux gandou[2] ! (Il frappe encore.)
Scène III.
Merci ! merci ! merci ! (Entrant). Jeune homme, je vous remercie bien.
De quoi ?