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pria, avec de vives instances, d’en accepter la présidence. Je cédai à ces sollicitations, après quoi j’organisai l’œuvre et suivis de près son fonctionnement pendant une vingtaine d’années.

Un ami de cette agence lui ayant fait un don qui lui permit d’assurer une pension viagère à d’anciennes institutrices besogneuses, j’eus à présider le comité qui dirigea l’emploi de ce fonds, et il me nomma son président honoraire lorsque je devins incapable d’aller siéger dans son sein.

Plusieurs entreprises concernant divers cantons confédérés et se trouvant hors de la sphère d’activité de la Société genevoise d’Utilité publique, attirèrent enfin mon attention et j’eus à agir dans leur intérêt ; ce furent :

33o une société de tempérance projetée pour la Suisse romande, qui eut à Lausanne une séance préparatoire, à laquelle j’assistai mais dans laquelle je ne me