Page:Murger - Les Nuits d’hiver, 1861.djvu/29

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RENOVARE

Avez-vous oublié, Louise, Le coin fleuri du vieux jardin Où, certain soir, ma main s’est mise Pleine d’émoi dans votre main ? Nos lèvres cherchaient nos paroles, Nos genoux touchaient nos genoux : Nous étions assis sous les saules... Dites, vous en souvenez-vous ?