Aller au contenu

Page:Musset - Œuvres complètes d’Alfred de Musset. Comédies I.djvu/207

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Ah ! voici Claudio. Ce n’est pas tout à fait la même chose, et je ne me soucie guère de continuer la conversation avec lui.

Claudio, à Tibia.

Tu as raison.

Octave, à Claudio.

Bonsoir, cousin.

Claudio.

Bonsoir.

À Tibia.

Tu as raison.

Octave.

Cousin, bonsoir.

Il sort en riant.
Claudio.

Bonsoir, bonsoir.

À Tibia.

Tu as raison, et ma femme est un trésor de pureté. (Suit la scène III, jusqu’à ces mots :) Rapporte-t’en à moi. — Il faut que je fasse part de cette découverte à ma belle-mère.

Tibia.

Monsieur, la voici justement

Claudio.

Qui ? ma belle-mère ?

Tibia.

Non, Hermia, notre voisine. Ne parliez-vous pas d’elle tout à l’heure ?

Claudio.

Oui, comme étant la mère de Cœlio ; et c’est la vérité, Tibia.