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sort. Elle va sans doute à vêpres. — Elle approche lentement. — Belle Marianne, vous dormirez tranquillement, etc.
7. — page 193.
Octave.
Une chanson sous la fenêtre, un bon manteau bien long, un poignard dans la poche, un masque sur le nez. — As-tu un masque ?
Cœlio.
Non.
Octave.
Point de masque ! — Amoureux et en carnaval ! Ce garçon-là ne pense à rien. Va donc t’équiper au plus vite.
Cœlio.
Ah ! mon Dieu ! le cœur me manque.
Octave.
Courage, ami ! en route ! Tu m’embrasseras en revenant. En route ! en route ! la nuit s’avance.
- Cœlio sort.
Le cœur lui manque ! dit-il. Et à moi aussi… Pour récompense de mes peines, je vais me donner à souper.
- Appelant.
Hé ! hola ! Giovanni ! Beppo !
- Il entre dans le cabaret.
CLAUDIO, TIBIA, MARIANNE, sur son balcon.
DEUX SPADASSINS.
DEUX SPADASSINS.
Claudio.
Laissez-le entrer, et jetez-vous sur lui dès qu’il sera parvenu à ce bosquet.
Marianne, à part.
Que vois-je ? mon mari et Tibia ?