Elle a écrit aussi ! c’est fort obligeant.
Oui, pendant que vous criiez si fort. Elle allait voir, et puis elle revenait. Mais Kalékairi avait écrit longtemps auparavant. Kalékairi avait écrit dès que vous lui aviez parlé.
Ainsi, toi d’abord, et puis la comtesse ! Deux dénonciations pour une ! c’est à merveille ; j’étais en bonnes mains. Ensorcelé par deux démons femelles !
Seigneur, vous êtes libre. La Reine va venir.
C’est fort heureux. Adieu, Kalékairi ! Dis à ta maîtresse, de ma part, que je ne lui pardonnerai de ma vie, et, quant à toi, puissent toutes tes salades…
Vous avez bien tort, car ma maîtresse a dit qu’elle vous trouvait très gentil ; oui, et que vous ne pouviez manquer de plaire à beaucoup de dames à la cour, mais que pour cette maison, ce n’était pas l’endroit.
En vérité ! elle a dit cela ? Eh bien ! Kalékairi, je crois que je lui pardonne. Et pour toi, si tu veux être discrète…
Oh ! non.