Crois-le si tu veux. Tu le sauras par d’autres que par moi.
Alexandre est mort, cela est-il possible ?
Que dirais-tu si les républicains t’offraient d’être duc à sa place ?
Je refuserais, mon ami.
Vraiment ! vraiment ! cela est incroyable.
Pourquoi ? cela est tout simple pour moi.
Comme pour moi de tuer Alexandre. Pourquoi ne veux-tu pas me croire ?
Ô notre nouveau Brutus ! je te crois et je t’embrasse. La liberté est donc sauvée ! Oui, je te crois, tu es tel que tu me l’as dit. Donne-moi ta main. Le duc est mort ! ah ! il n’y a pas de haine dans ma joie ; il n’y a que l’amour le plus pur, le plus sacré pour la patrie ; j’en prends Dieu à témoin.
Allons ! calme-toi ; il n’y a rien de sauvé que moi, qui ai les reins brisés par les chevaux de l’évêque de Marzi.