Encore une lettre ? c’est trop fort.
Oui, une autre, et dix s’il le faut. Puisque cette maudite baronne a éventé mon rendez-vous, il faut bien en donner un autre, et j’attends ici la réponse. Holà ! hé !
Est-ce que ces messieurs nous feront l’honneur de dîner ici ?
Non ; donnez-nous tout bonnement du champagne, si vous en avez.
Ils auront un vin détestable, un vinaigre affreux.
Pardonnez-moi, nous avons ici tout ce que vous pouvez désirer.
En vérité ! dans un trou pareil ! c’est impossible ; vous nous en imposez.
C’est ici le rendez-vous de chasse, monsieur, et nous ne manquons de rien.
Allons ! mon oncle, un peu de fermeté.
Sois-en certain, je ne te quitterai pas ! j’en jure ! etc.
(Suit la scène i de l’acte III, jusqu’à ces mots : « Ma bien-aimée m’appartiendra. » )