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Scène II


Les Précédents, STEINBERG.
Steinberg.

Pas encore levée ! C’est bien de la paresse. Bonjour, Cefalo, vous êtes exact, et moi aussi, comme vous voyez ; mais la signora ne l’est guère.

Le notaire.

Voici le contrat, monsieur le baron, dans ce portefeuille. Si vous vouliez, en attendant, jeter un coup d’œil…

Steinberg.

Tout à l’heure. Qu’est-ce que c’est que cette lettre ?

Calabre.

C’est de la part de la princesse, monsieur.

Steinberg, ouvrant la lettre.

Voyons.

Le notaire.

Je me retire, monsieur, j’attendrai vos ordres.



Scène III


STEINBERG, CALABRE.
Calabre, à part.

Si c’est encore quelque invitation, quelque partie de plaisir en l’air, nous allons avoir un orage.