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4. Conception éthique

(6) « J’ai appelé au contraire cette organisation : « Faisceaux italiens de combat ». Dans ce mot dur et métallique, il y avait tout le programme du fascisme, tel que je le rêvais, tel que je le voulais et tel que je l’ai fait !

« Camarades, voilà quel est encore notre programme : combattre.

« Pour nous fascistes, la vie est un combat continuel et incessant, que nous acceptons avec une grande désinvolture, avec un grand courage, avec l’intrépidité nécessaire ». (À Rome : Pour le VIIe anniversaire de la fondation des Faisceaux, 28 mars 1926 ; dans Scritti e Discorsi dal 1925 al 1926, Milan, Hoepli, 1934, p. 297).

« Nous voici de nouveau à l’essence même de la philosophie fasciste. Quand un philosophe finlandais me pria récemment de lui donner, en une phrase, le sens du fascisme, j’écrivis en allemand : « Nous sommes contre la vie commode ! » (E. Ludwig : Entretiens avec Mussolini, Milan, Mondadori, 1932, p. 190).

5. Conception religieuse

(7) « Si le fascisme n’était pas une foi, comment donnerait-il le stoïcisme et le courage à ses adeptes ? Seule une foi qui a atteint l’élévation d’une religion peut suggérer les mots sortis des