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POÈMES
��LE FORT
��Le fort souscrit, dans la bauUlasse, à l'écrase-jnoi des chemins qu'insinue, aux mains des ragasses, ]a nue au ventre parchemin.
Passé le fossé, passe V arche ; la porte grince sur ses freins, le sergent hurle une chose., arche, le soldat crotté plie les reins.
Herbe et ciel à la fois démarrent
au vent, à l'eau... Quand numrrons-nous
de l'ennui jà jusqu'aux genoux ?
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