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��LES DEUX MERS
��Je marche les pieds nus dans la mer qui descend
'Doucement^ lentement^ sur la plage ; je sens
A mes chevilles les caresses de lumière
De l'eau claire...
La plage est un tapis de roses ; je me couche
A plat ventre jusqu'à ce que ma bouche touche
Son corps délicieusement fluide et doux ; J'ai la tendre moiteur du sable sous ma joue...
Et puis, je mets au niveau de Peau bleue
Mes yeux
Et je regarde ainsi la mer divine l Elle a
Ee s flamboiements irisés d'une opale
Ici, tandis quelle ressemble là
A un champ, dans le crépuscule, de lin pâle...
Et je respire ainsi la mer comme une fleur.
De tout près... je me grise de V odeur Capiteuse et subtile et fraîche quelle exhale...
Pourtant, o mer, si féconde en délices. Si enivrante que tu sois, tu nés pas celle
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