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L’ÉPAVE MYSTÉRIEUSE
Les obus enlevaient des monceaux de terre. En suivant un petit sentier, Ferdinand pensait : « C’est raide, mais je crois que j’arriverai vivant. Tout de même, je vais dire un bout de prière. »
Alors le jeune officier éprouva une secousse effroyable et, lâchant les rênes du cheval, il s’aplatit contre le sol ; bientôt recouvert de gazon, de sable, de poussière, il sentit sur sa figure et sa bouche couler une chose très chaude qui l’étouffait.