Page:Nanteuil, L’épave mystérieuse, 1891.djvu/266

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larmes. Il se redressa au bruit que je lis ; d’abord je restai pétrifié, sans comprendre tout de suite, n’ayant jamais imaginé que je verrais des larmes sur cette figure-là. Et lui s’écria avec un sanglot : « Mon pauvre Henri IV ! Mon beau bateau ! » Messieurs, j’ai pleuré alors, et vous eussiez fait de même. »

Très ému à ce récit et en passant le revers de sa main sur ses yeux humides, Ferdinand aperçut plusieurs officiers qui essuyaient les leurs.